Cinémas hors circuits

 

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Dédié à l'édition cinématographique indépendante, Cinémas hors circuits s'inscrit dans un projet de revalorisation du travail des éditeurs, passeurs de culture, sans lesquels nombre de films auraient disparu de notre mémoire. Aujourd'hui héritiers du patrimoine cinématographique, les éditeurs doivent faire face à la blockbusterisation du cinéma et la concentration des réseaux de distribution.
 
Pour permettre au public et aux professionnels de découvrir les œuvres qu'ils promeuvent, favoriser des débats quant aux nouveaux enjeux de l'édition, Cinémas hors circuits a mis en place :
 
le portail des éditeurs indépendants

le salon Cinémas hors circuits : salon du DVD & des éditeurs indépendants de cinéma s'est tenu annuellement. En novembre 2011, Cinémas hors circuits a collaboré au second Salon des éditeurs indépendants OFNI de Poitiers Pour en savoir plus sur ces différentes éditions, utiliser l'onglet SALON.
 

Stand central
 
> Voir les photos du salon 2008, 2009, OFNI 2010, OFNI 2011.  

| LES ÉDITEURS DU PORTAIL:
 
68 Septante / Artus films / AV Prod / Bazaar&Co / Blaq Out / British Animation Awards / Centre audiovisuel Simone de Beauvoir / Chalet Pointu / Choses Vues / Cinéma Abattoir / Cinétrange / Clavis Films / Dérives / Doc Net Films / Dora Films / Doriane films / Ecart Production / ED Distribution / Epicentre Films / Filmarmalade / Index / JBA Production / JCG Production / K Films / La Cathode / La Famille Digitale / La vie est belle / Le chat qui fume / Les films du Paradoxe / Lowave / LUX / Malavida / Orbe / P.O.M. Films / Paris expérimental / Potemkine / PPT / Re:voir / Rouge Profond / Scope Éditions / Shellac Sud / Versus /
 


| UN TITRE AU HASARD :
 

26 SECONDES : L’AMERIQUE ECLABOUSSEE. L’ASSASSINAT DE JFK ET LE CINEMA AMERICAIN> Rouge Profond
 
26 SECONDES : L’AMERIQUE ECLABOUSSEE. L’ASSASSINAT DE JFK ET LE CINEMA AMERICAIN
Jean-Baptiste Thoret
France, 2003
essai sur le cinéma américain

22 novembre 1963 : John F. Kennedy est assassiné à Dallas. À l’aide d’une caméra Super 8, Abraham Zapruder filme l’explosion du crâne du président. 26 secondes au cours desquelles l’Amérique bascule. Ce film spectaculaire, censé détenir la vérité de l’événement, fait l’objet d’exégèses inépuisables qui ne débouchent sur aucune vérité. Bien au contraire, le délire interprétatif infini auquel il soumet les regards des Américains, convaincus de devenir les témoins d’un moment charnière de leur histoire, semble faire sombrer le pays dans l’imagination d’une conspiration aux ramifications invisibles. Rapidement, le film de Zapruder devient l’emblème d’une innocence perdue et l’une des matrices fondamentales de l’histoire moderne des images. Ses figures et les fantasmes qu’il déclenche (le sniper caché, l’explosion du crâne, la théorie du complot...) engendrent, en déplaçant la violence au centre de l’image, les métamorphoses du cinéma américain de la fin des années soixante. Ce dernier invente de nouvelles formes, repérables aussi bien dans les films d’Arthur Penn, de Brian De Palma et de Clint Eastwood que dans le film d’horreur réaliste.
 
Suppléments :
Jean-Baptiste Thoret a publié aux Éditions des Cahiers du cinéma : DARIO ARGENTO, MAGICIEN DE LA PEUR (2002), [T[LE CINEMA AMERICAIN DES ANNEES 70 (2006). Corédacteur en chef de la revue Simulacres (1999-2003), il est aussi l’auteur, avec Luc Lagier, de MYTHES ET MASQUES : LES FANTOMES DE JOHN CARPENTER(Dreamland, 1998), et de MASSACRE A LA TRONCONNEUSE; UNE EXPERIENCE (2001).


 
 

 
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